Locos vapeurs HO

Promotions

Déjà vus

Marklin 38141 – Locomotive à vapeur 141.R.1244 -Locomotive surprise de 2024 - Voie HO

38141

Neuf

Locomotive surprise de 2024

Plus de détails

En stock

645,00 € TTC

En savoir plus

Voie: H0    Epoque: VI

La 141.R. : une super puissance pour l’Europe
Toujours plus grandes, toujours plus rapides et toujours plus performantes: Aux États-Unis, jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, les grandes usines de locomotives construisaient des locomotives vraiment superpuissantes qui éclipsaient régulièrement leurs homologues européennes. Lorsque, à la fin de la guerre, l’industrie européenne des locomotives est en ruine et que la France, en particulier, perd une grande partie de son parc de locomotives, le gouvernement français se tourne vers les États-Unis pour obtenir rapidement des locomotives à vapeur performantes. Il s’agissait de machines répondant aux normes françaises et pouvant être utilisées de manière universelle. En l’espace de deux ans, les usines de locomotives américaines et canadiennes produisent plus de 1300 « Light Mikados » pour la SNCF. Outre-Atlantique, elles sont toutefois tout sauf « light ». Avec une puissance indexée de plus de 3000 CV, elles comptent parmi les locomotives à vapeur les plus puissantes d’Europe. Pendant de longues années, elles remorquent même des trains célèbres comme le noble « Mistral », qui relie la Côte d’Azur à Paris. Les dernières 141 R circulent jusqu’en 1974 à Sarreguemines, près de la frontière allemande. Elles y rencontrent régulièrement des trains à vapeur allemands qui ont alors presque l’air de petits garçons. Vous pouvez désormais retrouver la magie d’une telle rencontre sur votre réseau. Vous pouvez également placer l’imposante 141 R dans la vitrine, à côté d’autres célèbres locomotives à vapeur haute performance. La 141 R 1244 circulant depuis des décennies en Suisse comme locomotive-musée, ce superbe nouveau modèle Märklin convient même pour l’époque VI actuelle.

Modèle réel : Locomotive à vapeur avec tender à fuel 141.R.1244 pour exploitation mixte, en livrée SNCF. Etat de service actuel, tel celui de la locomotive hébergée en état de marche par l’association Mikado 1244 à Brugg, en Suisse.

Nous sommes en 1944 et l’Europe est en ruines. Le gouvernement français en exil réfléchit donc très vite à comment reconstruire rapidement le pays après la fin de la guerre. Le chemin de fer est alors considéré comme un élément très important. Mais le parc de locomotives français a été décimé et les usines de locomotives ne sont pas en mesure de combler ce manque à court terme. On se tourne alors vers l’allié américain pour lui commander des locomotives Mikado à usage universel. Celles-ci devaient être extrêmement puissantes, robustes, faciles à entretenir, rapides et de construction peu coûteuse. Sur la base des « Light Mikado », très répandues aux États-Unis, les célèbres usines Baldwin Locomotive Works développent alors une machine répondant aux normes françaises. L’appellation Mikado ne fait d’ailleurs pas référence au jeu japonais éponyme. C’est ainsi que l’on désigne les locomotives à vapeur dotées d’un essieu poussé, d’un essieu tracté et de quatre essieux moteurs, et pas seulement aux États-Unis. Une première série de 700 locomotives est commandée dès février 1945, alors que la France est en grande partie libérée. Afin de pouvoir livrer les machines le plus rapidement possible, la commande est répartie entre les trois grandes usines de locomotives américaines Baldwin, Lima et ALCO, le fabricant de Big Boy, qui relèvent le défi en un an à peine. La deuxième série de 640 exemplaires arrive progressivement en France jusqu’en septembre 1947, deux usines de locomotives canadiennes participent à la construction. La SNCF immatricule ses nouvelles stars dans la série 141 R, conformément à son schéma de numérotation. Le chiffre correspond à la disposition d’essieux mentionnée, R à la date de la première livraison. Lors de leur livraison, les locomotives de la première série étaient exclusivement équipées d’une chauffe au charbon avec alimentation mécanique par stoker ; dans la deuxième série, 284 locomotives sont équipées d’usine d’une chauffe au fioul, 320 autres 141 R étant converties au fioul en 1947. Pour la SNCF, la 141 R représente une véritable révolution avec sa simple expansion de vapeur, une technique de construction moderne et une puissance indexée de plus de 3000 CV. Elle est plus facile à utiliser que les anciens types de locomotives françaises et son entretien est moins contraignant et nettement moins coûteux. Grâce à leur grande disponibilité, à leurs bonnes qualités de roulement et au poste de conduite fermé, les 141 R comptent alors parmi les locomotives à vapeur françaises les plus populaires. Et avec une vitesse maximale de 90, puis de 100 km/h, elles peuvent en outre être utilisées pour remorquer la plupart des catégories de trains. Les trains de marchandises lourds et les trains de marchandises rapides sont certes leur domaine de prédilection, mais les trains voyageurs et trains rapides font également partie du domaine d’affectation de cette américaine très réussie. Sur la Côte d’Azur, entre Nice et Marseille, les 141 R ont même pendant des années conduit le « Mistral », célèbre train de luxe. A l’époque, les 141 R sont par ailleurs présentes dans presque toutes les régions de France. Une fière mikado américaine eut même l’honneur douteux de remorquer le dernier train à vapeur commercial de la SNCF le 31 mars 1974 à Sarreguemines, non loin de la frontière allemande. Neuf de ces mikados à succès existent encore aujourd’hui, certaines même en état de marche, véritables « oldtimers », qui rappellent la grande époque de la traction à vapeur en France. Depuis 1977, la machine 141 R 1244 est accueillie et entretenue en Suisse par l’association Mikado 1244. Elle possède une chauffe au fioul et est utilisée en tête de trains spéciaux dans tout le pays. Vous trouverez de plus amples informations sur cette locomotive sur le site www.mikado1244.ch.

Modèle réduit : Avec décodeur numérique mfx+ et nombreuses fonctions sonores. Motorisation régulée haute performance avec volant d’inertie dans la chaudière. Quatre essieux moteurs, dont trois entraînés par bielles d’accouplement. Bandages d’adhérence. Locomotive et tender essentiellement en métal. Générateur de fumée intégré de série. Fonction permanente du fanal et des deux feux rouges de fin de convoi – inversion en fonction du sens de marche – en mode d’exploitation conventionnel, sélection possible en mode numérique. Commutation sur un feu rouge de fin de convoi. Sélection distincte de l’éclairage de la cabine de conduite, de l’éclairage du châssis et du scintillement de la boîte à feu / foyer possible en mode numérique. Éclairage assuré par diodes électroluminescentes (LED) blanc chaud et rouges sans entretien. Attelage court avec cinématique entre locomotive et tender. Sur le tender, attelage court à cinématique avec boîtier NEM. Hauteur des tampons sur locomotive et tender conforme NEM. Rayon minimal d’inscription en courbe : 360 mm. Tubes protecteurs pour tiges de piston et boyaux de frein fournis.
Longueur h.t. approximative : 27,9 cm.

Vous trouverez un coffret de wagons assortis dans la gamme Märklin H0 sous la réf. 43230. Vous trouverez ce modèle en version pour système 2 rails c.c. dans la gamme Trix H0, sous la ref. 25141.

Highlights

  • Construction entièrement nouvelle.
  • Série 141.R. pour la première fois dans le programme Märklin.
  • Construction en métal finement détaillée.
  • Nombreux détails rapportés.
  • Générateur de fumée intégré de série.
  • Sélection distincte de l’éclairage du poste de conduite, du châssis et du scintillement de la boîte à feu / foyer possible en mode numérique.
  • Décodeur numérique Spielewelt mfx+ avec nombreuses fonctions lumineuses et sonores.
  • Hauteur des tampons conforme aux normes NEM.